Le répertoire de cet album est en majorité constitué de standards jazzy tirés du Great American Songbook des années 20 à 50 - chansons qui ont bercés l'enfance de Paul - plus deux excellentes nouvelles compositions.

Chers parents, si après l'écoute de ce disque, votre enfant respire par le nombril et nage avec les oreilles, ne soyez pas inquiets. Suivez le conseil de mon arrière-grand-mère : patientez. Il est peut-être en train de se souvenir de l'époque où il était poisson dans le ventre de sa ' mer ', tout comme vous l'avez été. Entre nous, on fait tous des choses bizarres, non ? Et c'est probablement parce qu'on a tous été... des bébés !

Séverin Valière et Pauline Floury ont mis en musique les plus belles figures de la Commune de Paris comme Louise Michel, Eugène Pottier ou Jules Jouy. Ces textes portent la voix de ces femmes au coeur de la Révolution de 1871 : la misère, la grève, les douleurs intimes et familiales, la mémoire des luttes, l'hymne à l'union, le rejet de la religion mais aussi, après le temps de la Commune, les souvenirs, la résistance et la paix.

Les fans de punk rock attendent cet événement depuis 12 ans ! Après plus d'une décennie d'absence le légendaire groupe The Offspring est de retour avec leur 10e album studio. Avec l'aide du producteur Bob Rock, le chanteur et guitariste Dexter Holland décrit l'album comme la chose la plus cathartique qu'ils aient pu faire. Let The Bad Times Roll est déjà considéré comme le nouvel étendard du punk rock californien !

Admirant le travail de Carson McCullers depuis longtemps, Suzanne avait déjà la détermination, en étant jeune, de lui rendre hommage un jour. Sur cet album, elle habite le caractère extraordinaire de McCullers et interprète la vie d'une femme qui, révoltée par la politique et le racisme de son éducation en Amérique du Sud, est arrivée à New-York au début de la vingtaine et est devenue l'une des lumières littéraires du 20ème siècle.

Avec 20 ans de bouteille, les litres d'ivresse et d'innocence ont ici fait place à une savante alchimie. La richesse des arrangements n'en a que plus de saveur. Le merveilleux oud de Vincent Serrano ensorcèle, les samples électro dynamitent les compositions, la guitare de Napo Romero rock l'ensemble, l'inébranlable Jojo swingue ses lames, les cuivres et les bois soufflent dans la finesse, c'est un vrai travail de groupe, cohérent, d'une redoutable efficacité.

Cet album, qui inclut 13 titres inédits, couvre une période qui va des sessions d'enregistrements pour l'album Cabo Verde en 1997 jusqu'à celles de Rogamar en 2006.

En prélude à ses 80 bougies qu'il soufflera le 12/12/2013, Manu Dibango nous offre un album dans lequel il interprète au saxo les grands airs de la chanson française et américaine qui ont bercé son parcours. Un regard tendre glissé sur ses années passées sur les bords de la Seine, comme une cure de jouvence magnifiée par une ballade inédite, Milady's song, en hommage à ses petits-enfants ; et une version chantée de Maladie d'amour en duo avec Jacob Desvarieux.

Enregistré à la fin d'une tournée solo en Europe en 2012, Massive threads est le second album pour clavier seul de celle dont le New York Times parle en ces termes : "Un truc infaillible pour écouter du bon jazz à New York consiste à repérer dans quel club se produit Kris Davis".

L'album que Bill Pritchard a toujours voulu faire. Une collection de chansons des Midlands, sur des problèmes continentaux, le tout baigné sous un piano charmant, un style que Pritchard travaille depuis deux ans, peaufiné grâce à de somptueuses cordes.